… but no city of philosophers

Following the law of separation of the old Herbert Spencer, the selection of heterogeneous talents and vocations was bound to take place of its own accord. In fact, at the end of a century there was already underground in course of development and continuous excavation a city of painters, a city of sculptors, a city of musicians, of poets, of geometricians, of physicists, of chemists, even of naturalists, of psychologists, of scientific or aesthetic specialists of every kind, except, strictly speaking, in philosophy. For we were obliged after several attempts to give up the idea of founding or maintaining a city of philosophers, notably owing to the incessant trouble caused by the tribe of sociologists who are the most unsociable of mankind.

Gabriel Tarde, Underground Man

The external form

We notice that, in a relationship between two people, the external form is rarely an adequate expression of its inner intensity. This inadequacy results from the fact that the inner relations develop continuously, while the external relations develop in a spasmodic fashion.

Georg Simmel, 1900

Punk is magic

‘…and those people who believe in the hairstyle, they call ‘em punk, and if you want to know the truth then I am really a punk. I’m a punk. I’m out of control and I can’t be controlled, if I want to spit here I spit here, if I want to piss there I piss there, anything I want to do I do it. Punk is magic.’

Lee Scratch Perry

…dans la genèse de l’individu, une hantise de la forme sociale…

… il n’en est pas moins vrai que les choses se passent comme si tout organisme supérieur était né d’une association de cellules qui se seraient partagé entre elles le travail. Très probablement, ce ne sont pas les cellules qui ont fait l’individu par voie d’association ; c’est plutôt l’individu qui a fait les cellules par voies de dissociation. Mais ceci même nous révèle, dans la genèse de l’individu, une hantise de la forme sociale, comme s’il ne pouvait se développer qu’à la condition de scinder sa substance en éléments ayant eux-mêmes une apparence d’individualité et unis entre eux par une apparence de sociabilité. Nombreux sont les cas où la nature paraît hésiter entre les deux formes, et se demander si elle constituera une société ou un individu : il suffit alors de la plus légère impulsion pour faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre … dans des organismes rudimentaires faits d’une cellule unique, nous constatons déjà que l’individualité apparente du tout est le composé d’un nombre non défini d’individualités virtuelles, virtuellement associées. Mais, de bas en haut de la série des vivants, la même loi se manifeste. Et c’est ce que nous exprimons en disant qu’unité et multiplicité sont des catégories de la matière inerte, que l’élan vital n’est ni unité ni multiplicité pures, et que si la matière à laquelle il se communique le met en demeure d’opter pour l’une des deux, son option ne sera jamais définitive : il sautera indéfiniment de l’une à l’autre. L’évolution de la vie dans la double direction de l’individualité et de l’association n’a donc rien d’accidentel. Elle tient à l’essence même de la vie.

Henri Bergson 1907 (§III, 4)

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